On sait que l’absentéisme coûte cher. Il est admis qu’il existe un rapport de 1 pour 1 entre le taux d’absentéisme et son coût en pourcentage de la masse salariale. Cela est dû au fait qu’il faut financer le remplacement et la gestion des absents, le surcoût des heures supplémentaires et la désorganisation. Cette quantification ne permettra, par ailleurs, qu’une évaluation très sommaire de l’ensemble des coûts indirects, dont celui de l’atteinte à l’image de l’entreprise, de la moindre qualité des services, voire de la baisse du degré de motivation des plus assidus.